Rivalité

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 07/08/2011

Rivalité

C’était impossible. Il ne pouvait subsister deux Etres Suprêmes dans cette galaxie. Ce serait comme avoir deux Docteurs dans deux Tardis. Le Temps en serait changé, et tout l’univers souffrirait de la fusion des molécules. Ils se regardaient tous les deux, œil dans œil, se contemplant en se regardant comme jamais on pouvait s’observer. De quoi miroirer en plongée subaquatique quand Louis la Brocante aidait son prochain. C’est vrai, le temps passe vite avec le repas et les films du soir.

Son adversaire était face à lui, chaud comme un pancake perdu dans l’infini du sirop d’érable.
C’était un robot de haute technologie. Le sol s'était craquelais sous le choc. La machine riposte avec un uppercut. Il recule en fessant une pirouette ; il riposta en sautant sur elle. C'est la que Norny évolue en un robot tous bleu avec des épines, qui sorte des coudes, du dos et du talon. La mutation provoqua une onde de choc, qui nous expulsait de la forêt. C'est que son corps prit la même apparence mais en noir. Je le voyais grâce aux morceaux de vitre parterre. On était face à face, après deux secondes de vise à vis. On se dirigeait vers elle. On lui porte des coups qu'elle esquive. Et Norny essayait à son tour de porté le danger, mais on en profite
pour lui prendre le bras, et la plaquée au sol. On enchaine par un écrasement pied et main. Là son torse s'ouvre pour faire apparaitre un rayon, qui nous fit heurtait un arbre. La forêt fût soufflée par la puissance. Elle se dirigé vers nous, on l'arrêtât avec le pied droit et avec la gauche on la projeté en l'aire et on finit par le rayon thoracique. On la prit d'une main en plein vol. Norny ouvre sa bouche et la un second temps more.

Il prit la parole d’une voix sèche et claire. Les sons s’élevant de sa bouche serpentèrent jusqu’à Norny en persiflant des vibrations de sons sifflants.

- Tu ne peut pas lutter, j’ai dis. Je suis un mal surpuissant. Du malin. Moi pas ma biroute. J’aime les arcanciel. Je suis gentie trop gentie timide et un éternel poseur de question. Je suis également philosophe et un grand romentique. Je me vent pour les filles car mon coeur reste toujours a prendre.

---

Dire que ça avait commencé très simplement, quand il avait fallu sauver le monde. Elle était venue chez lui, pour l’inviter à sa fête d’entrée en 1er S qu’elle organisait. Elle avait demandé si elle était chez les Morgan. Effectivement, elle y était. Le monde était là.
Elle était blonde aux yeux bleus, avec des atouts non négligeables. C'est la qu'elle me dit :
- bonjour je m'appelle Norny Narco pardonnais moi, est ce que je suis bien chez la famille Morgan.
Je me secouais la tête pour reprendre mes esprits et lui répondis :
- Oui !
Elle reprit :
- Parce que j'organise une fête pour mon entré en 1er S, et j'invite toute la classe.

Il hésita. Ses parents ne comprenaient pas qu’il devait sauver l’humanité. Après tout, sa mère
est Marie Morgan ces parents était Italien et agriculteur. Mais on lui pardonne tous ses travers car elle est juste, gentil et intelligeant.
Son père est Jean Claude Morgan ces parents était Français et ébéniste.
Lui il ressemble à son père avec le caractère des deux, mais dominance Jean Claude.

---

- Qu'est qui s'est passé ? dit Norny
- Rien, je médite.
- Mais tu fessais quoi ?
- Et toi pourquoi tu es venu ?
- J'ai un extraterrestre en moi.
- Il ressemble à quoi ?
- C'est une fille est elle ressemble a un être humain.
- Et tu te sers de ses pouvoirs.
- Oui tu as tous compris.
- Fait toi plaisir sans éveiller les soupçons.
- Non ! je ne veux pas.
- Oui !
- Bon aller !

Elle se tue et pris son petit déjeuné. Il range son orgueilleux dans sa poche, et sortie des toilettes. Le duel devenait fantastique, énorme, dantesque. A qui en ferait le plus, sans sauce tartare. On ne savait plus où donner du pied, si c’était sur le chien ou dans les champs de blé. Qu’importe, la terre allait être sauvée par le sacrifice d’un être supérieur. Il le fallait, pour que vive la veuve et l’orphelin, l’opprimé et le sans-abri, l’humain et la tartine de nutella. Le petit-déjeuner était une tuerie, la cuillère pleine de confiture d’étoiles ne s’en remettrait pas. D’ailleurs, elle revenait vers lui, la bouche pleine de chocolat. Elle était accompagnée par
un robot qui n’en était pas un, car je le savais ce qui était en moi, sans rien dire.

- Bon je vais tous te dire.
- Dit lui que l'humanité va mourir ! s'exclama Norny
- Oui je tes mentie, en vrais je suis La Mort et j'ai été envoyer ici pour faire l'être parfait.
- Dit lui que l'être parfait va tuer l'humanité pour installer la population d'HISTOIRIO.
- C'est la vérité se qu'elle dit, dit-il estomaqué
- Oui ! répondit Norny
- Arrêtes pensé car au tu pense au sa va se faire. Après il faut en assumais les conséquences.

Il comprenait ce qu’il allait se passer. Dans un baiser mortel, la Mort allait tuer l’humanité pour installer la population d’HISTOIRIO.

- Pourquoi fesses-tu ça ?
- Pourquoi ! je suis La mort déesse de la planète noir fille du vide, envoiler ici par HISTOIRIO pour faire l'être parfait. Oui ! Mais alors pourquoi notre arriver entache votre mission.
- HISTOIRIO veut installer son peuple ici sur la planète terre, de plus HISTOIRIO est contre votre vengeance !
- Le truc c'est que se n'es pas toi qui décides. Toi tu n'es que le respectable d'une expérience s'exclama Norny.
- Nnnnnnnoooooooooooooonnnnnnnnnnnnnn !

Le cri déchira un voile de pudeur cachant les émotions du sauveur de l’humanité. Horrible, même les soleils frémissèrent d’effroi et de contentitude. Norny s’approcha de lui, et lui dit sa vérité d’un ton froid. Cette Impératrice noire et rose était sans pitié et fessait n’importe quoi avec ses mots.

- Tu crois qu'ils vont t'accueillir comment. Tu vas être arcelet tu n'auras plus de vie privé et puis comment tu peux qui est le bien du mal, sans parler des personne qui ne veux pas être sauvé, et si tu n'es pas la on fait quoi. Enfin bref laisse les gens dans leur merde.
- Tu as raison. Et si je fessais une pause ? J’ai toujours voulu faire carrière dans le cinéma français érotique.
- Nous avons des contacts avec Capitaine Orgazmo, tu sais.
- La Mort, t’es chouette. Continue pour HISTOIRIO, et dis bidonjour à ta femme, comme on dit !

EPILOGUE

- Bonjour les filles, je suis nouveau et je ne connais personnes. (je reconnais il y a mieux comme entré.)
- Bonjour moi s'est Emmanuelle !
- je tes vue samedi entraine de participé au tournoi sur terre battue. Tu là gagnais ?
- Oui, je l'ais remporté.
- Tu as dût être opposé à John Deo.
- Il était très difficile à battre, mais j'y suis arrivé.
- Surprennent !

Pour ceux qui n'ont pas compris, c'est une déclaration de guerre de la part de la VAG (voir forum officiel)
Souriez, vous avez été choisis !

Dates de la guerre :

-10 aout, 22h22, début
-15 septembre, 22h22, fin de la guerre (s'il reste encore des vags en lice)
-Négociation possible les dimanches pour "abandon" (l'alliance admettra ne plus pouvoir combattre/qu'elle a perdue/demandera que les vag lui accordent la grace de la vie sauve :grandsour: )

Proposition pour le "feun" :

La vag est prête a se faire, comme on dit vulgairement, péter la rondelle par plein de beau monde. Mais nous avons pensés a vous (ce qu'on est bien) en se disant que ça serait monotone. Proposition est donc faite a chaque alliance de rentrer elle même en guerre contre les autres.

La guerre du silence

Je croyais que le temps avait passé. Mais non le passé viens repassé. Là, tu es submergé par les souvenirs. Puis les sentiments terminent de te finir. Je ne sais pas si je retrouverais cette rage. Pourtant je t'ai affronté quand tu n'étais pas sage. Les insultes pleurais, surtout de ton coter. Car tu fut foudroyé, par mon accusation de vulgarité. Je me souvient de ce mots que tu avais dit à mon encontre "analphabète". Dés l'or un combat naquit entre deux bêtes. L'un était une tête de mule et l'autre une tête de bulle. On avait beau mettre du savon, il y avait toujours des bulles. Pourtant la tête de mule s'appliquait. Cela n'en fit rien, les bulles persistaient. Puis voilà c'est fini, en plein cri.

Les années on passées, et rien n'avait éteint le cri. Parce que les bulles naissait toujours, après le passage de sa plume échancré. La liste fut longue, des personnes qui luttaient contre ces fautes. Alors je multipliai les efforts et les fautes. Il s'agit de dyslexie, et oui d'une maladie. Qui vous prend la tête et la vie. Tu peux lutter en fesant des rp. Mais jamais contre une tête de bulles, qui est très entêté. Hohenheim, Finji no Sanada et Alucard on fait entrer en moi la rage du silence. Leurs vérités laissait planer un silence et leurs aisances. Ils pouvaient parler et moi condamner à être muer. Je ne pouvais pas m'y résigner, pourtant c'était la vérité. Je ne savais pas écrire et tout s'écroulait devant leurs mots. Puis viens la révolte que j'ai exprimé avec mes propre mots. Comme quoi on peut être analphabète et se faire comprendre. Alors par le bien des forums j’entreprends.

Oui, il y a eu une guerre des mots, une guerre qui anima les poils des ces vilains animaux. Moi je faisais comme d'habitude je brassais de l'air et le rien. Alors qu'eux n'avaient qu'à taper. Pour que je puisse me courber, devant leurs maitrise du clavier. Il fallait se rabattre à quelque chose, ou je pouvait les prendre par défaut. Il ne faut pas oublier que nous sommes tous humains, que donc nous avons tous des maux. Il faut le savoir, Hohenheim manie avec merveille la vulgarité tous comme Alucard. Ce qui est bien avec eux, c'est que tu n'as aucun doute se sont des connards. Fuji no Sanada il s'agit là d'autre chose, quand on n'est pas fichu de mettre un "ne" dans une négation. Là je peux vous le dis que la barre d'espace a claqué avec excitation. Mais le mal était fait, ils avaient mit en moi une chose infini.

La haine de tout et de rien, je ne pouvais pas leurs démontrer que je valais mieux qu'eux dans les forums. Alors je canalise cette haine dans le jeux, car là j'étais en forme. Vous ne savez pas le démon que vous avez enfermé. Vous ne savez pas quel monstre que vous avez crées. Vous ne savez pas l'enfer que vous allez vivre. Maintenant que tu viens frapper à la porte, tu vas mourir. En plus ça reprend mes textes. Je vais t'apprendre à bafouer sans prétexte. Je ne peux pas vous laissez faire, je serais votre adversaire. Je sais faire des rp, mais pas des rc. Alors ce seront des affrontements sans rc. Car c'est par les mots que tout à commencer. Donc c'est par les mots que je vous finirais. Je vous jure que vous allez tout prendre.

super,on verra sa quand je reviendrais de vac alors